Antifas : cette violence qui n’existe pas

Antifas : cette violence qui n’existe pas

Ce week-end les antifas ont encore une fois fait preuve d’une violence inouïe.
A Rennes ils étaient 300 à s’attaquer au quartier Saint Anne pour protester contre un meeting du Front National, brulant des voitures et brisant des vitrines alors que 700 CRS étaient déployés…
A Paris, ils se sont encore une fois attaqués à la Librairie Ratier.
Aucune condamnation n’a été faite par Manuel Valls et les médias restent bien silencieux… La violence d’extrême gauche n’est pas punissable, mieux, elle est comme la théorie du genre, elle n’existe pas !