Nouvelle attaque contre un commissariat à Malmö, dans une des zones de non-droit de la nouvelle Suède multiculturelle

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Une nouvelle attaque à la bombe est survenue mercredi soir, un peu après 21h, contre un commissariat de police du quartier d’immigrés de Rosengård, à Malmö. Par bonheur, il n’y a eu cette fois que des dégâts matériels, avec deux voitures de police détruites. L’explosion a aussi endommagé la façade du commissariat qui venait d’être construit avec des fonds européens. Ce commissariat censé être à l’épreuve des casseurs et des balles avait remplacé l’ancien criblé de balles, justement. Alors que le gouvernement suédois avait présenté l’inauguration du nouveau commissariat comme le début d’une reconquête des zones de non-droit qui se sont développées en Suède à la faveur de l’immigration de masse, les journalistes de Breitbart en visite dans le quartier n’y avaient pas constaté de présence policière en dehors de ce commissariat-forteresse.
 

L’attaque de mercredi contre un commissariat de police n’était pas la première du genre

 
Selon certains policiers qui ont réagi dans les médias, cette dernière attaque serait une réaction au travail de la police contre les gangs criminels qui infectent Malmö. Ce serait donc un bon signe, en quelque sorte ! D’autres réactions ont été moins optimistes. La responsable régionale de la police, Carina Persson, s’est dite furieuse que des criminels puissent commettre de tels actes. Elle a découvert la lune ! Deux suspects d’une vingtaine d’années ont été arrêtés et la police a lancé un appel aux citoyens qui pourraient avoir vu quelque chose. Le ministre de la Justice et de l’Intérieur, Morgan Johansson, a parlé d’acte lâche contre la police et a promis plus de moyens et des pénalités plus sévères, un refrain que l’on entend régulièrement en France sans que cela ne soit suivi d’effet. Le premier ministre Stefan Löfven a déclaré mercredi qu’il n’excluait pas de recourir à l’armée pour rétablir l’ordre dans les zones de non-droit.
 

Officiellement, il n’y a pas de lien entre le développement de zones de non-droit et l’immigration en Suède

 
Comme d’habitude, le lien entre les attaques contre la police – celle de mercredi n’était pas la première de ces derniers mois – et l’arrivée massive d’immigrants encouragée par le gouvernement social-démocrate de M. Löfven n’est pas évoqué, si ce n’est par le parti national-conservateur Démocrates de Suède dont le dirigeant, Jimmie Akesson, a déclaré sans détour au parlement : « Des gens sont tués dans des pizzerias, des gens sont tués par des grenades qu’ils trouvent dans la rue. C’est la nouvelle Suède, le nouveau paradis multiculturel enthousiasmant et dynamique que tant d’entre vous dans cette assemblée […] se sont échinés à créer depuis de nombreuses années. »
 

Malmö, ville multiculturelle candidate au titre de capitale mondiale du viol

 
Il y a certes peu d’homicides en Suède selon les statistiques, mais l’on a dénombré en 2016 pas moins de 300 fusillades entre gangs sur fond de trafic de drogue, de racket et de prostitution. Avec l’avènement de la société multiculturelle à forte composante musulmane, la Suède doit aussi faire face à la menace du terrorisme islamique et elle est devenu un des pays où les jeunes filles et les femmes risquent le plus de se faire violer, surtout à Malmö d’ailleurs.
 
Le fameux « modèle suédois » fait de socialisme et de bienveillance a la fin qu’il mérite.
 

Olivier Bault