Ces transgenres qui regrettent leur « changement de sexe »

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Une étude anglaise révèle que 65% des personnes ayant eu recours à la chirurgie esthétique, du tatouage à la chirurgie plastique, le regrettent. Les solutions techniques qui leur permettent de retourner à leur état premier existent et sont listées sur internet, les chirurgiens concernés gagnant autant d’argent à faire qu’à défaire…
 
La star hollywoodienne Courtney Love a entre autres déclaré : « je voudrais juste retrouver la bouche que Dieu m’a donnée ».
 

Combien regrettent leur « changement de sexe » ?

 
Si deux tiers des personnes regrettent leur chirurgie esthétique, combien regrettent leur changement de sexe, opération infiniment plus intime, profonde et donc regrettable ?
 
C’est difficile à savoir tant l’omerta est forte sur le sujet, grâce à la pression des activistes transgenres.
 
On trouve très peu de traces sur internet. Le lobby assure que les regrets ne concernent que 5% des personnes qui ont effectivement changé de genre. Et il ne leur donne pas la parole.
 

Les transgenres victimes de l’omerta sur la « changement de sexe »

Pourtant des témoignages existent, et sont glaçants.
Alan Fitch, un jeune australien, avait décidé à 19 ans de « devenir une femme ». A 36, en 2004, il confiait à The Guardian : « la transsexualité a été inventée par des psychiatres… Vous ne pouvez pas fondamentalement changer de sexe ».
 
Il a écrit un livre, discuté sur internet, mais les réactions ont été violentes et ses écrits ont disparu de la toile.
 
Le tabou doit rester intact.
 
Rene Richards et Mike Penner sont restés dans les annales comme des « hommes devenus femmes ». Et pourtant…
Le premier, champion de tennis, confiait en 1999 à Tennis magazine : « j’aurais mieux fait de rester tel que j’étais – totalement intact (…) Je reçois un grand nombre de lettres de gens qui pensent à faire cette opération… je les décourage ».
 
Le second, journaliste sportif du Los Angeles Times, avait annoncé en 2007 son opération dans un blog qu’il tenait sur le site : Woman in progress avant de devenir un porte-parole actif de la cause transgenre. En 2008, il a décidé de redevenir un homme, sans dire un mot. Son blog a mystérieusement disparu du site internet du journal. Un an plus tard, il se suicidait.
 
En Belgique, une jeune femme a témoigné après son opération : elle se sentait plus « monstre » qu’homme… Elle était si désemparée qu’elle avait réclamé l’euthanasie, permise pour cette raison dans son pays. Les médecins avaient simplement accepté. Une monstruosité en efface une autre…
 
En Suède, sans doute le pays du monde le plus « friendly » pour les « transgenres », une étude a révélé en 2003 que le taux de suicide des personnes ayant subi une opération de changement de sexe était bien plus élevé que dans le reste de la population. En 2010, deux anciens soldats devenus « femmes » avaient choisis de redevenir ce qu’ils étaient et avaient témoigné dans un reportage.
 
Ici et là quelques courageux parlent pour que d’autres ne subissent pas le même sort…
 
Une souffrance que cachent à toute force les idéologues de la « tolérance », de l’ « égalité », du « bonheur » et du « chacun fait comme il veut »…