Indépendance énergétique française : préserver le nucléaire

Indépendance énergétique française
Indépendance énergétique française

Areva vient de signer avec le Niger un accord d’exploitation des mines d’uranium à long terme. C’était nécessaire pour préserver le nucléaire et assurer l’indépendance énergétique française, à un moment où la propagande écologiste tend à brouiller les esprits au profit du pétrole et des énergies « nouvelles ».
 

Cet accord garantira l’approvisionnement de la France en uranium, ce qui permettra de préserver le nucléaire, après les bourdes commises par Anne Lauvergeon du temps qu’elle dirigeait Areva.

Qu’intègre-t-on dans le calcul du prix ?

Mais le plus grave danger pour l’indépendance énergétique française est la propagande des organisations écologistes qui font en fait du lobbying soit pour les pétroliers, soit pour les vendeurs d’éolien et de photovoltaïque, dont on sait qu’ils ne marchent qu’à coup de subventions et ruinent les finances publiques. A la suite de la Cour des comptes, les médias titrent sur une augmentation spectaculaire du coût de l’énergie. Le prix du kilowatt heure serait passé de 49,6 euros en 2012 à 59,8 en 2013. Et ça va continuer. Ce qui permet à Denis Baupin, écologiste politique rapporteur de l’enquête d’affirmer que la transition énergétique est un impératif économique pour éviter de voir exploser les factures. Et de situer le prix du nucléaire au dessus de l’éolien terrestre. Naturellement : on fait entrer dans le nouveau prix non seulement le démantèlement des vieilles centrales, mais le traitement des déchets, le tout évalué au prix fort, les surcoûts éventuels en tout genre, et même… le coût des accidents nucléaires provisionnés. Combien vaut une tonne de charbon, calculée de cette manière ?