Les joueurs de football américain ont des « pets au casque »…

Et ce en l’absence de toute commotion cérébrale. Les élèves du secondaire qui jouent à ce sport violent, dûment casqués, peuvent subir des modifications cérébrales même après une seule saison de jeu, d’après une étude menée par des spécialistes de radiologie. On ne connaît pas l’impact de ces changements – même si les impacts sont forts et nombreux – mais vu l’importance de la population concernée, il s’agirait de voir les choses de plus près…