Aux analystes qui font valoir que la communauté internationale a soutenu la sécession du Kosovo face à la Serbie et reconnu son indépendance, Angela Merkel a répondu que les situations n’étaient pas comparables.
Et pour bien se faire comprendre elle a ajouté : « L’intégrité territoriale de l’Ukraine ne peut être remise en question ».
On peut se demander pourquoi, mais elle a raison sur un point : la Crimée est russe depuis des siècles, alors que le Kossovo, cœur et berceau de la nation serbe, a été volontairement peuplé d’Albanais musulmans par le dictateur communiste Tito·