Patrick Moore, membre fondateur de Greenpeace, sceptique sur le réchauffement climatique

membre fondateur Greenpeace sceptique rechauffement climatique Patrick Moore
 
Alors que les alarmistes du climat n’en finissent plus de multiplier les initiatives pour convaincre les populations du danger d’un réchauffement climatique causé par l’homme, un écologiste vient d’exprimer une « vérité qui dérange » ses amis de toujours. Patrick Moore, titulaire d’un doctorat en écologie, est un ancien membre fondateur de Greepeace en 1971 et il a été un leader de la science internationale de l’environnement depuis plus de quarante ans ! Le voici devenu sceptique.
 

Un sceptique qui rappelle les faits

 
Son discours se résume ainsi : le changement climatique n’est pas causé par l’homme, il n’y a eu aucune augmentation de température depuis près de vingt ans et si par hasard il en existait une, ce serait probablement une bonne chose. De quoi troubler ceux qui énumèrent sans cesse les catastrophes qui nous attendent si nous ne prenons pas des mesures drastiques.
 

Pour Patrick Moore, il n’y a aucune responsabilité humaine dans le réchauffement climatique

 
Il vient de signer une tribune intitulée : « Pourquoi je suis sceptique au sujet de changement climatique. » Et son discours va loin : il soupçonne même les émissions humaines de CO2 d’avoir protégé la terre de certains dangers… Dans ses propos, il dénonce ceux qui affirment que le « débat n’a plus lieu d’être » et que la « science est formelle » puisqu’il n’y a pour l’instant « aucune preuve scientifique » de la responsabilité humaine dans le réchauffement global.
 
Après avoir affirmé qu’il n’y avait aucune corrélation entre les émissions humaines de CO2 et l’augmentation des températures, Patrick Moore écrit : « La terre s’est réchauffée très progressivement pendant 300 ans, depuis la fin du Petit âge glaciaire, bien avant l’utilisation de combustibles fossiles. Avant ce Petit âge glaciaire, pendant la période médiévale de réchauffement, les Vikings ont colonisé le Groenland et Terre-Neuve, alors qu’il faisait plus chaud qu’aujourd’hui. Et pendant la période romaine, il faisait encore plus chaud, bien avant que les combustibles fossiles n’aient révolutionné notre civilisation. »
 

Supprimer les émissions de CO2 serait pire que tout pour Patrick Moore, membre fondateur de Greepeace

 
Patrick Moore dénonce donc clairement les ambitions des organisations internationales qui travaillent à supprimer totalement les émissions humaines de CO2 : pour lui, ce serait un remède plus mauvais encore que la maladie supposée, puisqu’elle conduirait à l’élimination entière de la population humaine ou ferait retourner l’homme au style de vie des chasseurs-cueilleurs présents sur terre il y a 10.000 ans.
 
Patrick Moore insiste : le CO2 n’est pas une mauvaise chose, il permet même de vivre : « Sans dioxyde de carbone au dessus de 150 parties par million, toutes les plantes mourraient. »
 
Mais alors pourquoi les écologistes s’acharnent-ils ? Pour l’argent et le pouvoir.
 
Patrick Moore pointe par exemple le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) qui est dans un perpétuel conflit d’intérêt : il est mandaté pour enquêter sur la responsabilité humaine dans le changement climatique. Il ne s’intéresse donc pas aux causes naturelles, pourtant grandement, si ce n’est totalement responsables.
 

Le réchauffement climatique est le combat idéal pour qui recherche argent et pouvoir

 
Patrick Moore précise enfin que le GIEC, étant payé pour affirmer que rien ne va, ne va pas se mettre à dire l’inverse… Et explique pourquoi tant d’organismes soutiennent le combat :
 
« Les écologistes alimentent les craintes et augmentent ainsi les dons, les politiciens semblent sauver la Terre de sa propre perte, les médias jouent sur le sensationnel, l’augmentation du nombre d’institutions permet la multiplication de subventions à coups de milliards, et crée donc de nouveaux départements qui servent à alimenter la frénésie mondiale ainsi que des scénarios effrayants ; de nombreuses entreprises deviennent “vertes” pour obtenir des subventions publiques et financer des projets qui ne seraient pas viables économiquement sans celles-ci (comme les parcs éoliens ou les panneaux solaires). Et la gauche voit le changement climatique comme un moyen parfait de redistribuer les richesses des pays industriels aux pays en voie de développement et à la bureaucratie de l’ONU. » Et, ajoutons-nous de s’emparer d’un pouvoir financier, politique et même spirituel colossal.
 
Le combat est idéal pour Patrick Moore puisqu’il repose sur la peur et la culpabilité : les adultes doivent se sentir coupables, et les enfants avoir peur. D’autant que la menace est censée peser sur toutes les régions du monde, sur les hommes comme sur les animaux.
 
Un mensonge qui va être de plus en plus difficile à cacher alors que les habitants de New-York célèbrent le printemps avec… une nouvelle tempête de neige.