Le mondialisme impose sa révolution sexuelle en Ouganda

Mondialisme révolution sexuelle Ouganda
 
Yoweri Museweni, l’homme de fer de l’Ouganda, vient de craquer. Le mondialisme est en train de lui imposer sa révolution sexuelle. On se souvient que par ses campagnes axées sur le changement de comportement, il avait fait reculer de manière spectaculaire l’épidémie de Sida à partir des années quatre-vingt-dix, et il s’était montré très ferme tant dans la lutte contre la propagande LGBT que sur la question de la vie, refusant les restrictions de croissance démographique préconisées par les institutions internationales. Sur ce premier point, il a tourné casaque lors de l’ouverture de la première conférence nationale sur le sujet, il s’est prononcé pour une limitation d’une « population de mauvaise qualité » et ajouté : « le Planning familial, si on le combine avec la croissance et la transformation de l’économie, améliorera les vies des femmes et des enfants ». Le voilà maintenant à faire l’éloge des ennemis d’hier.
 

Le lobby LGBT promeut la révolution sexuelle en Ouganda

 
Tout aussi grave et significatif, un tribunal ougandais vient d’invalider la loi réfrénant la promotion de l’homosexualité votée en décembre 2013 et promulguée en début d’année par le président Yoweri Museweni, sous prétexte que le quorum n’aurait pas été atteint durant l’examen de la loi. Celle-ci avait fait l’objet de violentes campagnes d’intimidation en Occident. L’Ouganda étant accusé de violer les droits de l’homme et le droit des minorités. Plusieurs pays, dont les Etats-Unis et la Hollande, avaient suspendu une partie de leur aide financière à l’Ouganda. Il semble que celui-ci est en train d’être repris en main par la communauté internationale, tant par l’intimidation politique que par le biais d’actions judiciaires. Le but étant de lui imposer par la révolution sexuelle le modèle de société du mondialisme maçon.