Le président américain avait passé outre la formalité de demander l’accord des élus de la Nation pour engager les premières frappes contre l’Etat islamique en Irak le 8 août et en Syrie, en septembre : il va se tourner vers le nouveau Congrès à majorité républicaine pour définir les contours de la mission et surtout, obtenir une approbation formelle. Il veut « montrer au monde que les Etats-Unis sont unis dans cet effort » : « Les hommes et les femmes de notre armée méritent notre soutien clair et uni », a-t-il déclaré. Parce qu’avant, ce n’était pas nécessaire ?