Le racisme anti-Blancs du jour : « Votre ADN est une abomination ! »

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Le racisme anti-Blancs, fruit de l’« antiracisme », dépasse l’imagination… « Votre ADN est une abomination », c’est l’accusation lancée dans un article publié par le journal des étudiants de l’université de l’Etat du Texas contre les Blancs.
 
« Vous n’êtes pas nés Blancs. Vous êtes devenus Blancs… vous vous en foutez complètement », écrivait l’étudiant Rudy Martinez, qui s’est déjà distingué suffisamment pour être arrêté lors de la cérémonie d’inauguration de Donald Trump à Washington.
 
« Ecrivait », puisque cet article a été effacé du site de l’University Star, tout de même…
 

Le racisme anti-Blancs dans une université du Texas

 
Mais des photos de l’article ont été conservées et révèlent ce véritable racisme anti-Blanc qui a passé la barre des responsables de la publication estudiantine : « La blanchitude passera parce que nous le voulons. Et quand elle disparaîtra, il y aura des millions de zombies culturels errants sans but dans un paysage radicalement modifié. Ontologiquement parlant, la mort de la blancheur signifiera la libération pour tous… jusque-là, souvenez-vous de ceci : je vous hais parce que vous ne devriez pas exister. Vous êtes à la fois le système dominant sur la planète et le néant où meurent toutes les autres cultures lorsqu’elles vous rencontrent. »
 
Martinez ajoutait que sur les innombrables Blancs qu’il a rencontrés – « professeur, camarades, amants, ami, officiers de police, etc. », il en a rencontré au maximum une douzaine qu’il a considérés comme « décents ».
 

Si l’ADN blanc est une abomination, pourquoi ne pas l’exterminer ?

 
Les responsables de la publication ont été assaillis de plaintes, telle la rédactrice-en-chef, Denise Cervantes, qui racontent avoir seulement voulu contribuer au débat d’idées puisque la publication ne soutient pas toutes les opinions exprimées par des chroniqueurs étudiants. « Nous reconnaissons que cette chronique aurait pu être plus claire dans son message et qu’elle a provoquée des blessures au sein de notre campus. Nous présentons nos excuses… »
 
Plus claire dans son message ? Il était difficile de l’être davantage, mais de tels propos font désordre dans le climat antiraciste. Notez bien qu’on ne leur reproche que leur outrance, et non le fond.
 

Anne Dolhein