A Rome le pape François fait de la propagande pour l’invasion de l’Europe

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Sortant de son rôle de pasteur de l’Église catholique, le pape François, en accueillant quatorze migrants dans un geste théâtral à Saint Pierre de Rome, a fait de la propagande pour l’invasion de l’Europe en appelant celle-ci à accueillir tous les immigrés, par une interprétation profane et biaisée des Évangiles.
 
Comparant les migrants à de modernes « lépreux », le pape François a affirmé que Jésus touchait les exclus, mais que les chrétiens d’aujourd’hui le font rarement. « Jésus nous apprend à ne pas avoir peur de toucher les pauvres et les marginalisés  car il est en eux. » Un bel exemple de vérité d’évidence mis au service d’une phraséologie compassionnelle par un petit glissement invisible : Notre Seigneur Jésus-Christ, c’est pour cela que les zélotes ont voulu sa mort, ne prétendait pas agir d’abord dans l’ordre politique, il n’est pas venu pour sauver l’Israël temporel ni changer les lois, ni chasser les Romains ni ouvrir les frontières de la Judée. Si un Etat catholique a le devoir d’agir conformément à l’esprit des Evangiles et de faire des lois catholiques, nos Etats et l’Europe maçonniques utilisent des vertus catholiques devenues folles pour détruire le substrat culturel que nos sociétés véhiculent encore et pour imposer une révolution éthique et l’islamisation de la chrétienté. Ainsi le pape François transpose abusivement la parole d’Évangile de la charité privée à l’action politique, par une opération non sans ressemblance avec celle que Notre Seigneur Jésus-Christ a condamnée hautement et qui lui a valu d’ailleurs l’hostilité des juifs.
 

Le pape François accueille « nos réfugiés » à Rome

 
Sur cette lancée, le pape François a poursuivi : « Beaucoup pensent que cela aurait été mieux pour eux de rester dans leur pays, mais ils souffraient tant là-bas. (…) Ce sont nos réfugiés, mais beaucoup les considèrent comme exclus : s’il vous plaît, ce sont nos frères ! Un chrétien n’exclut personne, fait de la place pour tous, laisse tout le monde venir à lui. »
 
Ce qui est terrible chez le pape François, c’est qu’il utilise l’autorité de sa fonction, l’aura de sa soutane blanche, et la sympathie facile que lui gagnent des manières d’apparence bonhommes pour faire passer des messages politiques en tordant à sa manière le dépôt de la foi catholique qu’il a pour mission de garantir.
 

L’Évangile mis au service de la propagande pour l’invasion de l’Europe

 
Ce qui est terrible, c’est que Notre Seigneur Jésus-Christ laissait vraiment venir à lui les petits enfants, les publicains, les prostituées, c’est qu’il est vraiment du devoir du chrétien de se dévouer au pauvres, et que souvent, soit faiblesse, égoïsme, hypocrisie, nous manquons à ce devoir : mais cela n’a rien à voir avec la propagande politique que fait le pape François ni avec l’invasion de l’Europe qu’il encourage. Quand il affirme, « nous sommes tous des migrants », c’est vrai si l’on entend par là que l’homme est en pèlerinage sur la terre, c’est faux si l’on prétend en faire une maxime d’organisation du monde – or c’est cela que le monde entend, et que le pape François veut qu’il entende. Le pape François pousse objectivement et subjectivement à l’invasion de l’Europe, et cette invasion n’est pas un vain fantasme, elle est mesurable. Les Anglo-Saxons, qui ont le droit de tenir des statistiques de ce genre, nous rappellent qu’un million de demandeurs d’asile se sont installés chez nous en dix mois (telle est la partie officielle) et que la « composition ethnique de certains pays commence à changer considérablement ».
 

Pauline Mille