Viols collectifs en Allemagne : taharrusch à Cologne et dans d’autres villes européennes

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Cologne, la nuit de la Saint-Sylvestre.

 
Quoi de neuf en France en ce lundi d’hiver gris et mou comme un chapeau ? David Bowie ! Le chanteur pop est mort d’un cancer à l’âge de soixante-neuf ans et Manuel Valls, toutes affaires cessantes, a tweeté que ce grand monsieur avait « révolutionné la musique ». Pas moins. David Cameron, lui aussi premier ministre en titre, y est allé de sa larme admirative. Voilà à quoi pensent les dirigeants politiques de deux des trois plus grands pays d’Europe occidentale. Cela fait suite très logiquement aux panégyriques tressés par nos politiques pour deux Michel récemment décédés, Delpech et Galabru. Telle semble la nouvelle fonction régalienne de l’Etat, avec aussi s’occuper du temps qu’il fait et rendre visite aux victimes d’accidents d’autocar. Et c’est aussi cela la nouvelle fonction de l’actualité : distraire l’attention et la réflexion de la politique nationale pour la confiner au divertissement en même temps qu’on les porte vers une sensibilité mondiale : Britanniques et Français communient dans la même admiration à la fois vaine et perverse pour un pousseur de chansonnette un peu tordu.
 

Désinformation sur les viols collectifs en Allemagne

 
L’observation des chaînes d’information en continu (que le mot chaînes est juste !) instruit parfaitement sur ce que le système veut que nous retenions, sur la morale qu’il prétend tirer d’une réalité qu’il réduit en fable. A l’inverse, la toile offre un éventail ouvert de vraies nouvelles importantes que nos grands nous cachent soigneusement. Aujourd’hui le monde a rattrapé la France par l’Allemagne. Le monde réel.  La vérité sur les « incidents » de Cologne commence à sortir. Finalement « ils » n’étaient pas cinq cents, ni mille, mais au moins deux mille. Les agressions et viols ont été bien plus nombreux que ce qu’on a d’abord prétendu, et les plaintes, de quelques dizaines, sont montées à cinq cents. Et les langues des policiers se délient. On les a forcés à minimiser, à se taire. On leur a enjoint de dire que rien ne permettait d’affirmer que les agresseurs étaient noirs, arabes ou musulmans. On leur demandé de ne pas donner les preuves que des réfugiés nombreux faisaient partie des agresseurs. La presse anglaise analyse en détail toute cette désinformation d’Etat, et la presse allemande, d’abord silencieuse, lui emboite le pas. On apprend ainsi aussi que les forces de police ont été complètement dépassées cette nuit-là. Cela n’est pas trop surprenant quand on sait comment se répartissent les forces employées. Un seul exemple : les autorités allemandes, au même moment où elles prévoient cent quarante-trois policiers pour stopper l’afflux de migrants, en affectent mil cinq cents pour surveiller une manifestation anti-viols. On arrive au point limite où un système qui s’est auto-intoxiqué ne voit vraiment plus les menaces et ne peut donc nullement y faire face.
 

Taharrusch à Cologne

 
Cependant d’autres pans de la vérité apparaissent forcément, et de plus en plus inquiétant, notamment le phénomène que les Allemands ont subi, le taharrusch, une ruée sauvage et collective, qui peut être considéré comme un viol sauvage en réunion, de nature culturelle et coutumière : rien à voir donc ni avec l’alcool ni le mal être de pauvres réfugiés, mais bien plus avec l’extranéité rédhibitoire de populations extérieures à la civilisation européenne. On apprend en outre que Cologne n’est pas la seule cible de cette étrange agression : Stuttgart, Munich, Hambourg, Berlin, ont été touchées, en Allemagne, Zurich en Suisse et même Helsinki en Finlande. Le phénomène a une telle ampleur que les grands journaux allemands, Die Welt, die frankfurter allgemeine Zeitung, sans compter Bild et le Spiegel, divulguent en grand l’information.
 

Le souvenir des heures les plus sombres de notre histoire

 
Cela a un sens : bien qu’endormie par sa grande coalition dans un discours rassurant qui vante les avantages pour l’équilibre des retraites d’une forte immigration, il semble que l’Allemagne se réveille un peu parce qu’on la tire de ses habitudes tranquilles et surtout parce qu’on a touché à ses femmes. La dernière fois qu’il a été question de viols nombreux, systématiques et collectifs, c’était à la fin de la seconde guerre mondiale. Un souvenir très mauvais et très massif. De quoi faire un électrochoc. Il semble que le même électrochoc ait touché, et choqué, les pays d’Europe centrale au contact direct de l’invasion, non seulement prennent des mesures d’urgence pour la freiner, comme la Hongrie ou la Slovénie, mais osent envisager le problème dans son ensemble sans langue de bois. Au point qu’un ministre allemand révèle qu’à son avis ce sont dix millions de migrants qui menacent les frontières de l’Europe. Et que le premier ministre slovaque appelle carrément à la résistance. Cela, moins d’une semaine après les accusations portées par le premier ministre tchèque contre les frères musulmans coupables selon lui d’avoir provoqué la « fuite » des migrants. Il semble bien qu’une part des dirigeants de l’Est européens, sous la pression de leurs peuples et de la réalité, se résolvent à dire une part de la vérité. Et que la presse commence à les relayer. Jusqu’où ? C’est toute la question. Rien n’indique que le mondialisme maçon ait rien perdu de sa puissance, et un recul tactique n’est pas une défaite stratégique. Déjà le premier slovaque a pris bien soin de distinguer entre les mauvais de Cologne et l’immigration nécessaire et l’islam modéré. Quant à la France, tout va bien : un collectif d’intellectuels demande une primaire à gauche pour ennuyer François Hollande. Cela, c’est de l’information mondiale et capitale !