Les racines communistes du totalitarisme vert

Totalitarisme vert communisme
L’écologie pastèque : verte à l’extérieur, rouge à l’intérieur.

 
Aux Etats-Unis où des voix s’élèvent pour dénoncer le totalitarisme vert, un film documentaire vient de paraître montrant d’étranges similitudes entre les programmes dits de « développement durable » et ceux du communisme. Ce film, intitulé Il est facile d’être vert quand vous n’en avez pas le choix, le développement durable et la fin de l’histoire et produit par Frank Pinski, explique avec l’appui de spécialistes qu’au centre de ce programme totalitaire d’ambition mondiale réside la théorie de plus en plus controversée du réchauffement climatique induit par l’homme, une théorie contredite notamment par les observations satellite depuis 18 ans. Une contradiction qui n’intéresse visiblement pas ceux qui font la promotion de la théorie du réchauffement, à en croire les déclarations contenues dans le film de responsables d’organisations eux-mêmes, dont le but est de culpabiliser l’homme pour le CO2 qu’il produit.
 

Le CO2, pourtant naturel, est l’excuse pour justifier le totalitarisme vert

 
Le CO2 est pourtant reconnu comme étant le « gaz de la vie » pour les plantes… et les émissions de ce gaz par les humains ne représentent qu’à peine 1 % de tous les gaz à effet de serre contenus naturellement dans l’atmosphère. Peu importe, pour les utopistes totalitaires du réchauffement climatique « La liberté humaine est le problème et la seule solution consiste à la limiter et à la contrôler », explique le météorologue Brian Sussman, narrateur du film, qui ajoute : « Grâce à des techniques de marketing et de propagande pour la consommation de masse, le public confiant avait accepté les buts ultimes du communisme… »
 
Le « climat » et le CO2 sont la parfaite excuse pour justifier la tyrannie. Pour Marc Morano, lui-même producteur d’un film sur le sujet, « L’idée du développement durable, c’est qu’il faut un ennemi commun. A défaut d’une invasion extra-terrestre, c’est tout ce qu’ils ont trouvé. » Un argument corroboré par un rapport du Club de Rome, dominé par des mondialistes et d’« anciens » communistes, dans lequel on peut lire : « Cherchant un ennemi commun contre lequel s’unir, nous en sommes venus à l’idée que la pollution, la menace du réchauffement climatique, des pénuries d’eau, des famines et autre, conviendraient parfaitement… Tous ces dangers ont pour cause l’être humain… Le véritable ennemi est l’humanité elle-même. » Intéressant est à ce propos le rôle clef joué par l’ancien dictateur communiste Mikhaïl Gorbatchev et ses alliés dans l’établissement, auprès de « top capitalistes » du programme de la COP21, qui démarra au sommet de Rio en 1992 et présente d’étranges similarités avec celui du communisme.
 

Les racines communistes du développement durable

 
Les interviews contenues dans le film de Pinski sont éloquentes. Pour Randal O’Toole du Cato Institute, l’idéologie mise en place au nom du contrôle se traduit par moins de liberté et plus de pauvreté. La soi-disant « croissance raisonnée » entraîne des prix plus élevés, un choix réduit, un contrôle de l’Etat sur le logement, la nourriture, les transports… Et Steve Mosher, du Population Research Institute explique la collusion évidente entre les promoteurs du contrôle de la population, les écologistes radicaux et ceux du développement durable : « Lorsqu’on interroge les partisans du contrôle de la population, on s’aperçoit qu’ils sont prêts à tout au nom du développement durable, y compris à faire arrêter les femmes pour le crime d’être enceintes, à les faire avorter par césarienne et à les stériliser à vie. »
 
Aux Etats-Unis, l’ex-tsar des « Green jobs » Van Jones a révélé lui-même être un communiste révolutionnaire… L’URSS n’a-t-elle pas été le premier pays à faire la promotion de l’avortement ?…