Transgenre : 98 % d’étudiants favorables à l’intégration d’hommes dans les équipes sportives féminines

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Une enquête réalisée sur le campus de l’université du Maryland par un jeune homme musclé qui se dit femme a révélé qu’une écrasante majorité d’étudiants ne verraient pas d’inconvénient à ce qu’un individu transgenre y intègre l’équipe féminine de basket (49 des 50 étudiants interrogés). Beaucoup d’étudiants ont certes montré des signes d’hésitation, mais le politiquement correct est le plus fort. Le nombre impressionnant des approbations montre à quel point l’idéologie du genre a infesté les esprits et les cœurs.
 
Certains athlètes célèbres ont déjà présenté des revendications similaires. Comme le Dr Richard Raskind, « transsexuel » devenu Renée Richards, qui obtint le droit de concourir chez les femmes et gagna l’Open américain de tennis féminin à 45 ans. « Lana Lawless » se prétendait femme lui aussi : on l’autorisa à jouer au golf contre les femmes au championnat Long Drive mondial qu’il emporta en 2008 à 55 ans… Ce ne sont là que deux cas parmi d’autres.
 

Les tenants de l’idéologie transgenre ont réussi à endoctriner les étudiants

 
Les personnes qui soutiennent cette folie sont aujourd’hui de plus en plus nombreuses. Par exemple, en 2009, Caster Semenya, athlète sud-africain qui remporta des compétitions féminines. Une enquête révéla qu’il avait à la fois les organes génitaux féminins, des testicules rentrés et une musculature d’homme. Il obtint de nombreux soutiens… de la part de personnes qui se souciaient peu de ses concurrentes femmes qui avaient pourtant le droit de se mesurer avec des personnes du même sexe.
 
Et c’est là que les tenants de l’idéologie transgenre se contredisent. Ils font parfois remarquer qu’il existe une différence entre le « sexe » et le « genre », définissant le deuxième comme la « perception » que l’on a de ce que l’on est. Le sport, lui, reconnaît la distinction entre les sexes et celles du « genre ». Mais les promoteurs du transgenre disent qu’on devrait pouvoir rejoindre un groupe défini par une classification biologique différente, même si – comme ils le reconnaissent – on ne peut changer sa classification biologique.
 
Cette distinction biologique est-elle significative ? Si ce n’est pas le cas, il faut bien vite dissoudre les ligues de sport, équipes et autres tours et faire concourir tout le monde ensemble. Si, en revanche, elle a une signification, les règles obligeant les membres d’une classification biologique devraient s’appliquer de manière équitable et ne pas être négociables en fonction de la « perception » subjective.
 

Des hommes dans les équipes sportives féminines : si c’est comme ça qu’ils le sentent…

 
Sur cette question de la perception, le travail mené par la télévision et le cinéma (particulièrement Hollywood) qui n’hésitent pas à présenter dans les films des héroïnes de 50 kg mettant à mal des sales types pesant le double, a contribué à faire croire qu’il n’y avait pas de différence entre les hommes et les femmes. Progressivement, les gens se sont mis à traiter les deux sexes de la même manière. Avec des conséquences aberrantes qui dépassent le sport. Comme cette proposition récente en faveur de la conscription militaire féminine.
 
Il y a bien des différences entre les hommes et les femmes, que s’efforcent de masquer les ingénieurs sociaux. On a d’abord été amené à croire à l’égalité et à l’interchangeabilité des sexes. Aujourd’hui on pense qu’ils sont tellement interchangeables qu’un homme peut devenir une femme. N’y aurait-il pas un lien entre ces deux idées ?…
 

Patrick Neuville