Depuis plus de deux ans, le FBI et une cinquantaine d’autres agences de police américaines disposent de radars leur permettant de détecter la présence d’une personne au travers les murs d’un appartement ou d’une maison, et de la localiser précisément.
Des machines dont le public n’avait pas connaissance et qui pose de sérieuses questions juridiques et relatives à la vie privée, énoncées par différents défenseurs de la vie privée : d’après la jurisprudence de la Cour suprême, la police n’a effectivement pas le droit d’utiliser des détecteurs donnant des indications sur l’intérieur d’un domicile sans mandat de perquisition obtenu au préalable.