La Nuova Bussola Quotidiana publie cette information sous forme d’une lettre diffusée par une mère de famille qui s’interroge sur la force des « courants idéologiques prévalant actuellement parmi les élites, alors même qu’ils ne sont nullement soutenus par les gens ordinaires ».
Cette école primaire, qui sert aussi de garderie, s’inscrit dans un courant de plus en plus inquiétant de contrôle de la pensée et de « rééducation » idéologique de la population.
La rédactrice de la lettre, qui se dit catholique pratiquante, se demande au demeurant pourquoi les autorités scolaires s’arrêtent là : « C’est comme si on nous demandait de ne plus utiliser le verbe “courir” pour ne pas faire de tort à ceux qui ne courent pas, de ne pas utiliser le verbe “manger” pour ne pas offenser ceux qui ont mal à l’estomac, ou encore de cesser d’utiliser le mot “beau” pour ne pas blesser les laids. »