Elle vient d’acheter plus de 99,9 % de l’institution, sauvant ainsi de la faillite la plus importante banque privée russe pour un prix équivalant à 7,71 milliards de dollars. La dette et les prêts de la banque et de son fonds d’investissement ont préalablement été restructurés.
Il n’y a pas qu’en Occident que les banques centrales, et donc, in fine, les contribuables, viennent au secours des banques privées…
Otkritie a été présentée comme victime des sanctions occidentales mais aussi d’un ralentissement généralisé de l’économie russe.