Un document déclassé de l’administration Clinton montre que l’ancien président et son équipe se faisaient du mauvais sang à cause d’Internet et craignaient qu’il ne serve à diffuser les idées de droite, conservatrices, voire extrémistes. L’étude, qui date de 1995, affirme qu’il « y a des preuves que les équipes républicaines surfent sur internet pour échanger des idées et des informations avec des extrémistes ». Par extrémistes, il faut entendre les Américains opposés au programme de Clinton, et les indépendants politiques rebaptisés « complotistes ». Une convergence paradoxale entre le libéral Clinton et les régimes ouvertement totalitaires de Chine et d’ailleurs aujourd’hui·