Les niveaux de flux sanguins varient de la même manière chez les filles et les garçons avant la puberté, mais une nouvelle étude menée par l’école de médecine de l’Université de Pennsylvanie, révèle qu’ils ne se comportent plus de la même façon pendant celle-ci : ces flux augmentent chez les femmes alors qu’ils baissent chez les hommes.
Une découverte qui donne des indices quand aux troubles psychiatriques comme la dépression, l’anxiété ou la schizophrénie qui affectent différemment entre filles et garçons…
Les sciences dures sont sans pitié pour la théorie du genre·