Des scientifiques de l’Université de Washington viennent de découvrir que de microscopiques organismes marins – le plancton – produisaient des gaz aéroportés ainsi que de la matière organique qui finissent par rejoindre les nuages. Une particularité : ces infimes particules rendraient les nuages plus brillants et leur permettraient ainsi de mieux refléter la lumière du soleil.
Après avoir mené leur étude dans l’Océan Austral – très peu pollué –, les chercheurs ont découvert que cette brillance (albédo) engendre une augmentation de la réflexion de l’énergie solaire de 4 watts par mètre carré et par an.
Un élément nouveau, et donc mal pris en compte par les modèles du réchauffement global, alors que le phénomène est connu… Mais cela reviendrait à reconnaître que l’homme n’y est pas pour grand chose, et les idéologues n’y sont sans doute pas prêts.