Au commencement était le Verbe et le Verbe était avec Dieu et le Verbe était Dieu.
Il était au commencement avec Dieu.
Tout ce qui a été fait a été fait par lui, et rien de ce qui a été fait n’a été fait sans lui.
En lui était la vie, et la vie était la lumière des hommes, et la lumière luit dans les ténèbres et les ténèbres ne l’ont pas saisie.
Il y eut un homme envoyé de Dieu. Son nom était Jean.
Il vint pour témoigner, pour rendre témoignage à la lumière, afin que tous crussent par lui.
Celui-là n’était pas la lumière, mais il avait à rendre témoignage à la lumière.
Le Verbe était la lumière véritable, qui éclaire tout homme ; il venait dans le monde.
Il était dans le monde, et le monde fut par lui, et le monde ne l’a pas reconnu.
Il est venu chez lui, et les siens ne l’ont pas accueilli.
Mais à tous ceux qui l’ont accueilli, il a donné pouvoir de devenir enfants de Dieu, à ceux qui croient en son nom, qui ne sont pas nés du sang, ni de la volonté de la chair, ni de la volonté de l’homme, mais de Dieu.
Et le Verbe s’est fait chair et il a habité parmi nous, et nous avons contemplé sa gloire, gloire qu’il tient de son Père comme Fils unique, plein de grâce et de vérité. (Jn 1 1-14)
Elle enfanta son fils premier-né, l’enveloppa de langes et le coucha dans une crèche, parce qu’il n’y avait pas de place pour eux dans l’hôtellerie.
Il y avait dans la même région des bergers qui vivaient aux champs et gardaient leurs troupeaux durant les veilles de la nuit.
L’Ange du Seigneur se tint près d’eux et la gloire du Seigneur les enveloppa de sa clarté ; et ils furent saisis d’une grande crainte.
Mais l’ange leur dit : » Ne craignez point ; car voici que je vous annonce une grande joie, qui sera celle de tout le peuple :
aujourd’hui vous est né un Sauveur, qui est le Christ Seigneur, dans la ville de David.
Et ceci vous servira de signe : vous trouverez un nouveau-né enveloppé de langes et couché dans une crèche. »
Et soudain se joignit à l’ange une troupe nombreuse de l’armée céleste, qui louait Dieu, en disant :
» Gloire à Dieu au plus haut des cieux et sur la terre paix aux hommes de bonne volonté ! » (Lc 2 7-14)