A 500.000 barils par jour, la production de pétrole que l’Iran peut vendre aujourd’hui – et qui devrait doubler dans quelques mois – pèsera sur les cours. En même temps, en récupérant ses avoirs à l’étranger, l’Iran pourra mieux soutenir les chiites du Hezbollah et le régime de Bachar el-Assad, alors que la chute des cours aura des conséquences néfastes pour les autres producteurs de pétrole, à commencer par les pays de l’OPEC. La levée des sanctions ne contribuera pas, c’est le moins que l’on puisse dire, à la stabilité mondiale.