Des enfants de six ans chargés à l’école d’écrire des lettres d’amour entre deux hommes pour mieux accepter la diversité – LGBT toujours +

 
Enfants école diversité LGBT
 
Il aurait été demandé à des petites filles d’écrire une lettre d’amour à un prince ou à des petits garçons d’ouvrir leur cœur à une princesse, que l’affaire aurait été jugée effroyablement sexiste, digne du plus grand sectarisme sexuel qui soit, négatrice de liberté, voire attentatoire à la santé psychique des enfants… Dans l’autre sens, c’est bien. Parce que c’est LGBT+. Et que l’accueil de la diversité, c’est forcément beau, c’est même le souverain Bien d’aujourd’hui. L’institutrice qui passait sur la BBC dans un mini reportage a donc raconté sans sourciller comment elle faisait écrire des lettres d’amour entre deux hommes à ses élèves de six ans.
 
Les réseaux sociaux ont adoré – enfin pas tous.
 

« Cette classe d’enfants de six ans apprend le mariage gay »

 
La vidéo avait été initialement téléchargée sur la page Facebook de la BBC Radio Manchester. On y voit donc de jeunes enfants de l’école primaire Bewsey Lodge s’atteler à la tâche demandée par la maîtresse : « Vous êtes le prince Henry, vous allez dire à Thomas pourquoi c’est une idée géniale, pour lui, de l’épouser ». Une lettre d’amour donc, à rédiger, qui célèbre un mariage gay.
 
Il faut préciser que Thomas est le serviteur du prince Henry à la base, dans ce conte de fées des temps tristement modernes… Tant qu’à faire, deux leçons en une ! On croise les genres, on croise les classes sociales.
 
L’enseignante, Sarah Hopson, a déclaré à la BBC que les enfants « vont sortir dans ce monde et trouver cette diversité autour d’eux, et ils la trouveront très jeunes ». Elle explique que « plus les enfants s’ouvrent à cet âge, moins ils s’opposeront par la suite ; si les enfants s’ouvrent maintenant, ils accepteront ultérieurement cette diversité autour d’eux ».
 
C’est pourquoi, comme s’en réjouit le commentaire de la BBC, « cette école enseigne aux enfants les relations LGBT dès leur plus jeune âge ».
 

« Respect des droits et de la diversité » ? Soumission au seul lobby LGBT+…

 
Des utilisateurs des réseaux sociaux se sont horrifiés et ont accusé l’école et l’institutrice de donner des leçons de sexualisation non adaptées à leur âge. La directrice de l’établissement s’est défendue, elle, dans un post sur la page Facebook de Bewsey Lodge, en s’étonnant que certains y aient vu une quelconque sexualisation ! De l’amour qu’on vous dit !
 
« Nous parlons également de racisme, d’extrémisme et de religion, et la même philosophie filtre tout cela. Je défierais quiconque doute de ce que nous essayons de faire autour des LGBT+ de venir parler à quelques-uns de nos petits. Ils vous parleraient de respect et vous diraient que si vous voulez porter une jupe à l’école et que vous êtes un garçon, ça marche, que si vous avez 2 mamans ou 2 papas et que vous êtes aimés, c’est cool »…
 
Et tant qu’à déconstruire, on déconstruit jusqu’au bout. Sur le site internet de l’école, on peut aussi lire que pendant la semaine « Respect des droits », un enfant de CE1 (Year 3 dans le système scolaire britannique) a réalisé un exposé pour sa classe sur le genre et particulièrement les transgenres… un enfant de 7 ans ! « Nous avons pensé que cette pièce faisait preuve de maturité et de respect pour la vie, les sentiments et les choix des autres »….
 

Une confusion des sexes, dès l’école, qui porte malheureusement ses fruits

 
En revanche, que de tels travaux mettent en cause l’équilibre profond de ces tout jeunes enfants, personne ne s’en inquiète. Provoquer, dès cet âge de 6/7 ans, la confusion entre les sexes est d’une violence inouïe, qui a des répercussions flagrantes, comme le montrent les tout récents chiffres publiés par le Gender Identity Development Service du NHS qui soutient les enfants « en difficulté dans le développement de leur identité de genre » : le nombre d’enfants arrivés dans leur service, envoyés par un médecin, est passé de 97 en 2009/10 à 2 519 en 2017/18, soit un bond de 4 400 % depuis 2007 !
 
Des chiffres faramineux, qui ont poussé la ministre de l’Égalité, Penny Mordaunt, à demander une enquête sur la désorientation hallucinante de ces mineurs. D’autant plus que le Bureau des égalités du gouvernement a précisé dans le Daily Mail, qu’« il existe des preuves que cette tendance se produit également dans d’autres pays ».
 
Qui pour clamer la réalité de cette contagion sociale effrayante ?! La campagne LBGT+, pourtant, s’étend. Et les enfants sont les premiers ciblés – les adultes de demain. Il y a quelques semaines, une marionnette transgenre a été présentée aux jeunes enfants de la Colombie-Britannique, à laquelle de nombreux épisodes disponibles sur YouTube sont consacrés. Il faut, pour tous, élargir le cercle des « opportunités »…
 
Dans cette formidable (à prendre dans son sens latin) entreprise de négation du réel, on peut se demander qui sont les vrais sectaires.
 
Clémentine Jallais