L’ONG terroriste écolo Oxfam France, dont l’ancienne ministre Cécile Duflot est la présidente, et la coprésidente du groupe de Gauche au Parlement européen Manon Aubry la porte-parole, vient de publier une « étude » intitulée Le pouvoir, nom masculin, dont le sous-titre est : Première édition de l’index de la féminisation du pouvoir d’Oxfam France (avril 2025, 26 pages). Cette association révolutionnaire financée majoritairement sur fonds publics, d’après son site, entend y faire « le bilan de la féminisation du pouvoir », et pour elle ça va très mal, le « taux de féminisation du pouvoir en France » ne dépassant pas 38,6 % chez les parlementaires et 25 % pour les pouvoirs locaux. Cela va mieux ailleurs, heureusement, au Rwanda, à Cuba, au Nicaragua et aux Emirats Arabes Unis. Oxfam propose bien sûr des pistes pour améliorer les choses, elles sont quatre, il faut modifier la Constitution (un must dans toute réforme de gauche), instaurer un « pouvoir exécutif plus paritaire », installer des « modes de scrutin qui favorisent la parité » et « responsabiliser les partis » par l’argent, que l’on distribuera selon « des critères d’éga-conditionnalités » (!). Oxfam, dans ce « rapport », se déclare « féministe » et dénonce le « patriarcat ». L’objet social de l’association est pourtant l’environnement, et c’est à ce titre qu’elle a esté en justice, notamment contre la France, dans l’Affaire du siècle, à propos « d’inaction climatique ». Alors, défend-elle le climat ou les LGBTQ ? La question est mal posée : elle oublie que l’arc-en-ciel ne se divise pas.