Selon l’étude du Williams Institute de la faculté de droit de l’UClA, 2,8 millions d’Américains âgés de 13 ans ou plus déclarent s’identifier comme transgenres. On arrive à la barre symbolique de 1 % de la population totale, ce qui est énorme. C’est dire la vitesse de contagion de la folie transgenre : en 2018 encore, l’association trans militante ORTrans estimait à 15.000 le nombre de transgenres en France, soit moins de 0,25 pour mille ! Or aujourd’hui, en comptant tous les « non cisgenres » engendrés par l’idéologie trans (non binaires, transgenres,etc.) l’institut allemand Statista pousse à 5 % en moyenne dans le monde les adultes qui se disent LGBT – confondant pour faire nombre des catégories non homogènes, certaines ayant trait à l’orientation sexuelle, d’autres à l’identité. Le Williams Institute, qui suit la population transgenre, apporte sans le vouloir de l’eau au moulin de la sociologue Lisa Littman, selon qui la dysphorie de genre est une maladie qui s’attrape par contagion sociale, se propageant entre semblables. Ainsi 75 % des Américains qui se disent transgenres sont nés après 1990, et c’est la première génération qui a grandi avec Internet et un smartphone, et subi donc le partage incessant par les parents d’enfants transgenres. En 1990, les enfants transgenres étaient inconnus. Aujourd’hui, selon l’étude la proportion des transgenres est de 3,3 % chez les 13-17 ans, 2,7 % chez les 18-24 ans, 1,4 % pour les 25-34 ans, et moins de 0,5 % chez tous les autres. Outre ces trans au sens propres, un quart de la génération Z s’identifie dans l’une des catégories composant le drapeau LGBT. Cela ne montre qu’une chose à la vérité, la propagande LGBT massive déstabilise les jeunes, et les études s’appuient sur le malaise ainsi engendré pour en accentuer, par le biais de statistiques agglutinantes, la perception du phénomène.