La chute des vocations entraîne nécessairement l’abandon des bâtiments religieux. Pour une reprise d’abbaye comme celle de Bellefontaine par le Barroux – communauté florissante parce que catholique sans concessions –, combien de fermetures de communautés ?
Pour y répondre, et préserver un patrimoine séculaire dans l’attente d’un renouveau, « plusieurs congrégations pérennes ont choisi d’unir leurs forces dans un instrumentum inédit – le Conservatoire des Biens de Congrégations. Sa raison d’être : “garder les lieux” jusqu’au renouveau des vocations, tout en les faisant vivre au service du bien commun ».
Mais ce « renouveau des vocations » ne viendra pas sans un « printemps de l’Eglise », annoncé à grand cris depuis plus de cinquante ans, mais que les dilutions successives du message ne laissent pas présager.











