Le ministère de la justice estime que les représentants de l’association (gauchiste) de défense des libertés civiles ont trompé l’administration à propos de l’affaire de la jeune fille enceinte qui avait réussi à entrer sur le territoire américain depuis le Mexique sans ses parents.
Au cours de la procédure engagée par ACLU, une cour fédérale d’appel avait fait droit à sa demande d’avortement le 24 octobre et dès le lendemain, avant même que l’administration ne puisse s’adresser à la Haute cour, celui-ci a été réalisé.
Les avocats du département de la justice dénoncent le fait que les représentants de l’ACLU avaient donné leur accord pour indiquer la date où l’avortement aurait lieu, ce qui n’a pas été fait. Au contraire, il semblerait que le rendez-vous de la jeune fille à la clinique d’avortement ait été avancé d’un jour aux premières heures de la matinée du 25 afin d’éviter la révision de l’affaire par une juridiction plus élevée, et ce sous couleur d’une séance de conseil.