C’est une équipe de Stanford University qui a constaté que le cerveau émet un signal caractéristique pendant les secondes qui précèdent un comportement impulsif, inondant le corps qui attend de la nourriture ou une activité sexuelle d’une sensation de plaisir par anticipation.
Casey Halpern et l’équipe de chercheurs ont remarqué que cette activité électrique peut provoquer un plaisir assez intense pour faire oublier les conséquences sociales d’un acte. Mais l’ayant localisée, ils proposent de l’interrompre en cas de besoin grâce à une micropuce pour lutter contre le passage à l’acte, visant aussi bien l’obésité, la toxicomanie, le jeu pathologique, l’addiction sexuelle et les coups de colère incontrôlés associés à des maladies psychiatriques.
Testée sur des souris, la technique a déjà permis d’empêcher chez celles-ci des épisodes de frénésie alimentaire.