Une étude sur 100.000 mouches drosophiles a conduit des chercheurs en biologie de l’université californienne UCLA à affirmer que l’activation d’un certain gène dans un seul organe du corps pourrait ralentir le vieillissement de l’ensemble. Le gène AMPK présent dans les cellules ne s’active que lorsque l’énergie cellulaire est basse. Leur activation dans les intestins des mouches a eu pour effet une prolongation de la vie de 30 %, en bonne santé.