Les morts et les blessés s’accumulent dans la capitale vénézuélienne. Le président Maduro n’a pas attendu des mois pour faire tirer sur la foule, et ses opposants n’avaient monté ni barricades ni pris de bâtiments publics, ni incendié de matériel, ni canardé la police.
Mais il faut croire que les étudiants abattus par les forces dites de l’ordre au Venezuela n’inspirent pas grand-chose à l’Union européenne·