Le montant de l’addition a été calculé par l’IREF qui prévoit cette dépense, aux frais des contribuables, pour les subventions d’Etat qu’il faudrait prévoir pour faire passer tous les logements étiquetés G et F au niveau D. Ces logements « passoires » représenteraient 4,1 millions d’unités. La rénovation moyenne revient à près de 60.000 euros, dont 41.000 euros en moyenne pris en charge par MaPrimeRénov.
S’il est vrai tous les propriétaires ne le demandent pas, la pression va s’accroître avec l’interdiction de louer qui frappera les logements classés G, F puis E d’ici à 2034.
Ou comment organiser la crise du logement et en même temps aggraver la pression fiscale : un vrai rêve socialiste !