Quand la nourriture manque, la tête des petits rongeurs diminue de taille pour reprendre sa dimension originelle au printemps, ont révélé des études aux rayons X réalisées par l’Institut Max Planck pour l’ornithologie en Allemagne.
Les chercheurs n’ont pour l’heure aucune explication pour le phénomène, appelé « phénomène de Dehnel », qui ne touche pas seulement la boîte crânienne mais également le cerveau et la colonne vertébrale.
Les musaraignes restent sur place et n’hibernent pas pendant les mois les plus froids, ce qui réduit leurs chances de survie en raison de leur métabolisme élevé.