Datant des années 80, elle visait à enrayer l’épidémie du sida dont la transfusion sanguine était un des moyens de dissémination. La Food and Drug Administration a décidé, à l’instar de l’Australie et du Royaume-Uni, d’autoriser le don de sang des homosexuels et bisexuels n’ayant eu des rapports avec un autre homme dans les 12 mois précédant le don.
La communauté homosexuelle s’en félicite, mais réclame toujours davantage.