La victoire s’est jouée à 370.000 voix près dans un contexte de participation élevée (71,63 %) : la candidat pro-Trump et anti-woke du PiS, directeur de l’Institut de la Mémoire nationale, défend des valeurs catholiques, nationales et traditionnelles.
Il défend aussi la souveraineté nationale contre l’UE.
Avec son pouvoir de veto, le nouveau et jeune président – Nawrocki n’a que 42 ans – peut réellement peser sur la politique polonaise et contrer le progressisme du gouvernement Tusk. La presse mainstream décrit sa victoire comme une bonne nouvelle pour Poutine. Mais ses recherches d’historien l’ont mené à enquêter sur les crimes du communisme. Et il a qualifié la Russe d’« Etat barbare » en mars dernier…