Des mineures violées par des réfugiés Afghans arrivés comme clandestins au Royaume-Uni

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L’affaire agite la presse britannique de droite, et on le comprend : deux clandestins afghans arrivés dans le pays sur l’un des « petits bateaux » venus de France, tous deux âgés de 17 ans accueillis comme « mineurs non accompagnés », ont violé une adolescente de 15 ans à peine quelques mois après leur arrivée dans le Royaume-Uni, et viennent d’être condamnés à 10 ans de prison, l’un d’entre eux devant être déporté à l’issue de sa peine. La victime a pu filmer le début de l’attaque sur son téléphone portable, apportant ainsi la preuve de l’horreur qu’elle a vécue, tentant de résister de toutes ses forces à l’odieux crime.

L’histoire est un condensé des affres actuels de l’immigration non contrôlée, qui permet à des jeunes hommes seuls, quasi adultes, de forcer les frontières d’un pays et d’y être accueillis, logés, assistés aux frais dans une ville thermale tranquille en arguant de leur statut de demandeurs d’asile. Dans un premier temps les avocats des accusés avaient tenté de garder leurs noms secrets au motif que leur publication pouvait déclencher « des désordres publics à grande échelle ».

Comprendre : la dénonciation de l’immigration de masse et de l’absence de contrôle sérieux de ces vagues de « réfugiés » qui continuent d’arriver par centaines (500 nouveaux dossiers d’allocations ouverts par jour…).

 

On prêche l’accueil des clandestins, on récolte des mineures violées

Lundi, lors de l’audience à Warwick Crown Court, le juge a levé tout interdit à ce sujet alors même que l’avocat de l’un d’eux voulait que l’on occulte jusqu’à leur nationalité et leur statut de demandeurs d’asile. Le juge a rétorqué qu’il était dans l’intérêt du public de donner leurs noms : Jan Jahanzeb et Izrar Niazal.

Ces « migrants », comme on dit pour masquer leur illégalité, avaient tout loisir de rôder autour des parcs qui ponctuent Leamington Spa. C’est en mai dernier que la jeune victime, qui buvait de la vodka en bordure d’un parc avec des amies avait été « kidnappée » par Jahanzab pour être conduite dans un recoin discret du parc pendant qu’il appelait un ami afin que celui-ci vînt « tout de suite » pour profiter de la situation. Sur le chemin elle hurlait : « A l’aide, je ne veux pas aller dans le parc ! »

Ils ont reconnu ensuite l’avoir forcée à commettre des actes sexuels ; elle avait réussi à interpeller une passante en implorant son aide mais la femme avait passé son chemin. Elle s’était finalement échappée et un autre passant l’avait prise en charge, appelant aussitôt la police. Elle est depuis fortement atteinte par ce qui lui est arrivée : la simple idée d’être confrontée à ses camarades de classe lui donne envie de vomir, a-t-elle expliqué au juge.

 

Le Royaume-Uni en proie à une insécurité organisée

Celui-ci, Mme Sylvia de Bertodano, a condamné les deux violeurs en affirmant qu’ils savaient parfaitement qu’ils commettaient un crime, ajoutant que la vision des demandeurs d’asile par le public en a été « significativement abîmée » : « Vous avez trahi les intérêts de ceux qui vous ressemblent et qui sont venus ici à la recherche de la sécurité », a-t-elle déclaré, non sans préciser que les « différences culturelles » entre le Royaume-Uni et l’Afghanistan n’empêchaient pas les accusés de comprendre ce qu’est le consentement.

L’insistance sur le « consentement » est l’autre volet de cette affaire : ici, la jeune fille a pu démontrer son absence mais c’est la « relation » subie, acceptée ou non, qui constitue un problème, et au-delà, l’arrivée de jeunes hommes de l’acabit de ces deux accusés venus d’un pays où la victime d’un viol est volontiers présentée comme la vraie coupable d’« adultère ». Et pour qui les jeunes autochtones, même mineures, semblent une proie facile, comme l’ont montré de multiples affaires d’agressions suivies ou non de meurtre dans les pays occidentaux.

 

Les Afghans au Royaume-Uni « 20 fois plus susceptibles de commettre des infractions sexuelles »

S’en plaindre vous expose à être dénoncé comme d’« extrême droite », s’est indignée la présentatrice Michelle Dewbury sur GB News, tandis que sur son interpellation, le chef de programme de Reform UK, Zia Yusuf, déclarait :

« Je partage et je fais écho à votre colère et à votre fureur, Michelle. Ecoutez, la réalité est que tout cela découle des décisions qui ont été prises d’abord par le gouvernement conservateur, puis par l’actuel gouvernement travailliste. Ces deux jeunes ont 17 ans et sont arrivés ici sous le gouvernement travailliste. Ils ont dit qu’ils allaient démanteler les gangs, mais que s’est-il passé ? Plus de 70.000 migrants illégaux sont arrivés sur nos côtes sans y être invités sous le régime de Keir Starmer. Cela représente une augmentation d’environ 40 % par rapport à l’année dernière. Et tout cela est malheureusement, de manière prévisible, le résultat d’une politique qui permet à des gens d’arriver sur nos plages sans y être invités, puis de se voir offrir un hébergement et de la nourriture gratuits, et de se promener comme ils veulent.

« Les deux auteurs de cet acte odieux séjournaient dans un hôtel aux frais des contribuables. Les Afghans sont 20 fois plus susceptibles de commettre des infractions sexuelles que les ressortissants britanniques. L’Afghanistan est l’un des principaux pays d’origine des hommes qui arrivent dans ce pays à bord de petits bateaux… Je crains que ce pays ne soit en train d’être envahi. Cela dure depuis des années maintenant. »

La seule solution, a-t-il conclu, est de déporter immédiatement toute personne dès son entrée illégale dans le pays.

On apprenait ce mardi qu’un autre migrant Afghan, Sultani Bakatash, accusé d’avoir violé deux jeunes filles de 14 ans dans un appartement à Bolton dans la banlieue de Londres, va pouvoir rester au Royaume-Uni où il vit depuis deux ans, ayant obtenu le droit de séjourner indéfiniment auprès de sa mère et de ses deux frères et deux sœurs. L’homme, 28 ans, avait d’abord été en contact avec ses victimes supposées via internet.

Bien d’autres histoires de ce type circulent dans les médias britanniques, sans compter les affaires de femmes autochtones qui épousent des réfugiés afghans – plus de 6.000 cas depuis 2019 – et dont nombre se terminent très mal, l’un des objectifs semblant être pour certains de ces hommes d’avoir un bébé sur le territoire britannique afin de dresser un obstacle supplémentaire face à une possible expulsion.

 

Anne Dolhein