Clandestins : les passeurs utilisent, comme publicité, des images de jeunes Britanniques plutôt engageantes

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De la chair fraîche : c’est la vision qui nous vient à l’esprit, en regardant ce clip publié sur TikTok et exposé par le Daily Mail. Et c’est bien celle que les réseaux clandestins de passeurs veulent faire naître dans la tête de leurs jeunes clients potentiels, des hommes bien sûr pour l’immense majorité. On y voit des jeunes filles maquillées pour sortir, en crop top, mini-jupe ou short, qui rient et se dandinent sur les pavés britanniques, sous les lumières bleues des cafés… « Venez en Grande-Bretagne : comme vous le voyez, les femmes sont belles, affriolantes et éminemment disponibles ! » Tel pourrait être le commentaire de la vidéo… mais il n’est pas besoin de l’écrire, il se devine tout seul.

C’est une infraction et un mensonge. Vis-à-vis de ces femmes, d’abord, dont on utilise l’image sans leur consentement, diffusant un message qui n’est certainement pas le leur. Vis-à-vis de ces hommes à qui on promet un faux eldorado, un paradis islamique avant l’heure.

« Ça n’a aucun impact, on ne franchit pas pour ça les montagnes de Turquie ou d’Irak, et la Manche », entend-on sur un plateau télévisé. Si ce n’est évidemment pas l’unique raison de migration des jeunes hommes qui parviennent en Grande-Bretagne, cette « publicité » participe à sa mesure au fonctionnement du système : la preuve, cette vidéo date en réalité d’il y a deux ans, publiée à l’époque par la chaîne GB News. Et il y en a eu d’autres depuis.

Comment s’étonner, dès lors, des agressions sexuelles perpétrées par ces « migrants » ? La dernière date d’il y a quelques jours, la jeune victime avait 15 ans. Sans compter que ces clandestins servent aussi de mules pour le trafic de drogue. Bref, les Britanniques sont ravis de payer (car ils leur coûtent !) pour avoir des problèmes.

 

Les passeurs font de la publicité sur le dos des femmes britanniques

The Daily Mail a fouillé les réseaux et a découvert une palanquée de ces vidéos « promotionnelles » où on a presque l’impression de visiter un marché aux esclaves. Des dizaines de milliers de profils sont abonnés à ces comptes sur les réseaux sociaux TikTok et Instagram. Les vidéos sont estampillées d’un emoji Union Jack, marquant la nationalité présumée des donzelles. Et elles sont à destination des migrants masculins, principalement en provenance d’Afrique du Nord et du Moyen-Orient.

Selon le journal britannique, un utilisateur de TikTok, vraisemblablement un Gujjar indien ou pakistanais, publiant régulièrement ce type de contenu, affirme ouvertement pouvoir organiser des entrées illégales au Royaume-Uni. Dans sa bio, on trouve un numéro de téléphone portable avec la mention « contact pour visa Schengen », prétendant pouvoir fournir officieusement ce permis de court séjour pour voyager en Europe. Après, il suffira juste d’en dépasser la durée, en restant sur place…

Des images de jeunes femmes faisant la fête, dansant et buvant la nuit apparaissent constamment sur son fil d’actualité. Il a même pris soin de mettre en scène l’un des siens (ou lui-même), frôlant ces Britanniques, plaisantant avec elles… Un autre leur passe même la bague au doigt, agenouillé dans un simulacre de demande en mariage. Tout ça avec un émoji rougissant et une légende plus que troublante : « les avantages des études ».

 

Migrants clandestins : des agressions sexuelles caractérisées

Personne ne pourra le contredire : des jeunes hommes se voient ainsi clairement suggérer qu’un déménagement au Royaume-Uni pourrait les aider à satisfaire leurs pulsions sexuelles. Bien sûr, il n’y a pas que cela ! Ils profiteront surtout d’un certain nombre d’avantages économiques (le toit d’un bon hôtel, un smartphone en sus, les soins médicaux offerts, la gratuité de circuler garantie…), mais ils pourraient aussi profiter, aisément, selon le message qui leur est vendu, des filles et des femmes du pays.

Parce que chez eux, c’est nettement moins facile ! Les sociétés musulmanes sont misogynes et cachent la femme autant qu’ils la traitent en inférieure radicale. Alors quand certains de ces jeunes mâles, seuls et désœuvrés, débarquent en terre occidentale où les femmes leur paraissent des proies faciles, forcément les incidents ne manquent pas. Et la journaliste Sarah Vine s’étranglait de colère, mardi, dans le Daily Mail en repassant la liste de ces agresseurs, demandeurs d’asile, connus des médias.

Les derniers en date, deux Afghans de 17 ans, arrivés quelques mois auparavant en bateau de fortune, s’en sont pris à une écolière de 15 ans qui venait de quitter un groupe d’amis : ils l’ont traînée dans un parc et l’ont violée. Ils viennent d’être condamnés à des peines de prison : dix ans au chaud, sur terre anglaise, au lieu d’être renvoyés dans leurs pénates.

Quand les « valeurs » musulmanes rencontrent la faiblesse intrinsèque des démocraties libérales percluses de wokisme, ce sont les faibles qui trinquent. Un utilisateur de Reddit disait ainsi : « Les femmes et les enfants sont toujours les premiers à payer le prix de n’importe quelle invasion. »

 

Le coût de l’immigration illégale : presque 10 % du budget du NHS en Angleterre en 2024

La grogne monte et les médias britanniques fouillent toujours plus les chiffres de la criminalité migratoire. L’été dernier, le Daily Mail avait étudié les cas d’une soixantaine d’hôtels qui hébergeaient des migrants. En seulement trois ans, au moins 300 demandeurs d’asile ont été inculpés pour des infractions allant de l’agression au viol, jusqu’au meurtre, sans parler des incendies criminels, des vols, des conduites dangereuses, des fraudes, la possession d’images pédopornographiques et le trafic de stupéfiants.

D’après les chiffres du Centre de contrôle des migrations, 412 ressortissants irakiens ont été condamnés, hors procédure sommaire, en 2024. C’est plus que pour les ressortissants français (176), américains (105) et allemands (104) réunis, notait un article du Telegraph, il y a quelques jours. Anne Dolhein l’écrivait en janvier dernier : les étrangers risquent 3,5 fois plus l’arrestation pour agressions sexuelles que les Britanniques.

Le ministre de l’Intérieur du cabinet fantôme, Chris Philp, a pointé « le risque que représentent ces immigrés clandestins pour la population britannique ». Un risque et un coût… qu’un rapport, publié en mai 2024, a évalué à 12.000 £ par personne, soit 14,4 milliards de livres sterling pour une population de 1,2 million de migrants en situation irrégulière…

Des deux côtés, ainsi, il faut payer – en espèces et en nature. Bien sûr, on entendra que ces jeunes femmes Britanniques étaient trop débraillées ou trop délurées. Mais ce n’est pas parce que la femme s’est trop tristement sexuellement « libérée » dans notre Occident oublieux de sa foi que les autres en viennent à avoir raison. Débraillées ou pas, elles subiront, in fine, le même sort.

 

Clémentine Jallais