Des prisonniers musulmans imposent la djizîa, l’impôt de la dhimmitude aux non musulmans au Royaume-Uni

prisonniers musulmans djizîa impôt dhimmi Royaume-Uni
 
Une enquête menée par une commission gouvernementale au Royaume-Uni révèle que des détenus musulmans dans des prisons de haute sécurité du pays contraignent actuellement leurs congénères non musulmans au paiement de la djizîa, l’impôt qui taxe les dhimmis, s’ils refusent de se convertir à l’islam. C’est ce qu’ont affirmé des détenus interrogés dans le cadre de l’enquête sur l’extrémisme dans les prisons britanniques les plus importantes : Belmarsh, Long Lartin, Woodhill et Whitemoor.
 
C’est dans ces quatre prisons, qui peuvent accueillir 2.633 détenus au total, que sont gardés les criminels les plus dangereux, parmi lesquels les terroristes. Des terroristes musulmans notamment : ils seraient à l’origine d’une radicalisation importante dont les non musulmans font les frais. Intimidations et attaques directes se multiplient contre ces « infidèles », s’il faut en croire le syndicaliste Steve Gillan, secrétaire général de l’Association des officiers gardiens de prison.
 

Des « dhimmis » de prisons de haute sécurité du Royaume-Uni paient la djizîa

 
« Des détenus se trouvent à l’occasion harcelés, agressés et intimidés afin qu’ils deviennent musulmans, et si ce n’est pas le cas, ils sont attaqués », a-t-il déclaré au Sunday Times. Affirmant que les services pénitentiaires tentent de s’opposer à la « radicalisation » et à l’« extrémisme », il a reconnu que cela ne suffirait sans doute pas. « Vont-ils disparaître ? Non. Je crois qu’on peut supposer que les choses vont empirer. »
 
C’est une source du ministre de l’Intérieur qui précise pour sa part, à propos de la djizîa : « Cela montre à quel point l’extrémisme musulman dans les prisons devient problématique, dès lors que des détenus s’inspirant de l’Etat islamique harcellent et intimident des non musulmans à tel point qu’ils paient pour obtenir leur propre sécurité. Cela crée un précédent dangereux et envoie aux détenus non musulmans le message selon lequel les musulmans vont faire fonctionner la prison selon leurs propres règles et selon la charia. »
 

Charia, conversion, impôt : des prisonniers non musulmans attaqués par les extrémistes islamiques

 
Il y a actuellement 10,8 % de musulmans au sein de la population carcérale du Royaume-Uni, alors que les musulmans ne représentent que 5 % de la population en général, selon Breitbart London.
 
Si nombre de détenus choisissent de payer la djizîa que le Coran commande de lever sur les dhimmis – juifs ou chrétiens – il en est un certain nombre qui se convertissent sous la pression des détenus musulmans, ainsi que le montrent diverses études menées ces dernières années.
 
Les autorités britanniques présentent ces levées d’impôts comme un « racket ».
 

Anne Dolhein