Selon une étude publiée conjointement par des universitaires anglais, australiens, néerlandais et américains, la valeur mondiale de l’environnement humain a baissé de 20.000 milliards de dollars par an sur la période 1997 -2011.
Cette « perte » couvre la disparitions de lieux humides, récifs coraliens et forêts tropicales.
Le concept n’a pas plus de sens que les coûts allégués n’ont de justification. En revanche le chiffre jeté à la décrochez-moi-ça a une signification bien précise : on habitue le public mondial à se faire à l’idée que les politiques de défense et de restauration de l’environnement aient un coût de cet ordre.
Les économies développées doivent s’attendre à payer ce prix dans les prochaines décennies. La recherche du diamant vert de l’écologisme est décidément ruineuse.