Le Dr Peter McCullough, ce cardiologue américain devenu célèbre en raison de ses prises de position contre le discours officiel au sujet du covid, vient d’attirer l’attention sur une nouvelle étude préoccupante qui fait état d’une explosion des décès liés au covid entre 2020 et 2023. La mortalité a augmenté précisément au sein des populations vaccinées, selon cette étude dans un journal scientifique, fondée sur les chiffres de l’OMS.
Il a partagé vendredi sur X un lien renvoyant ses abonnés vers un article publié sur Focal Points, un blog Substack dont il est l’animateur. Le Dr Nicolas Hulscher, titulaire un master en santé publique, qui collabore avec McCullough au sein de sa fondation, a résumé cette étude dans un article.
L’étude elle-même a été publiée dans l’International Journal of Risk & Safety in Medicine. Elle est intitulée « Augmentation paradoxale des décès liés au covid-19 dans le monde avec la couverture vaccinale : estimations de l’Organisation mondiale de la santé (2020-2023) ».
Entre autres choses, l’étude a révélé ce fait choquant : « La mortalité liée au covid-19 a augmenté à l’ère de la vaccination, en particulier dans les régions où la couverture vaccinale était plus élevée. »
Vacciné contre le covid, on risque davantage d’en mourir
Son résumé officiel affirme : « Les décès liés au covid-19 ont augmenté avec la couverture vaccinale, [l’augmentation de la mortalité] allant de 43,3 % (Afrique) à 1.275,0 % (Pacifique occidental). Les régions du Pacifique occidental (1,5 %) et de l’Afrique (3,8 %) ont le moins contribué au nombre cumulé de décès liés au covid-19 dans le monde avant la vaccination, tandis que les Amériques (49,9 %) et l’Europe (27,6 %) ont enregistré les chiffres les plus élevés. Les Amériques (39,8 %) et l’Europe (34,1 %) ont représenté plus de 70 % des décès liés au covid-19 dans le monde malgré une vaccination élevée, et l’augmentation du pourcentage de mortalité liée au covid-19 et le pourcentage de personnes âgées de 65 ans et plus étaient fortement corrélés (0,48) en Afrique. »
Cette étude « paradoxale » a analysé les chiffres de l’OMS
« Une nouvelle étude révèle que la vaccination massive contre le COVID-19 a non seulement échoué, mais a également aggravé la situation, avec les pics de mortalité les plus élevés au sein des populations les plus vaccinées », a commenté le Dr McCullough.
Il a également souligné : « Le fait de charger l’organisme avec la protéine Spike par la vaccination a rendu la maladie plus grave et plus mortelle. Les complications cardiaques et les caillots sanguins sont causés par la vaccination, et les risques resteront élevés pendant des années. La protéine Spike a entraîné une augmentation de la mortalité toutes causes confondues. »