Deux nouvelles études écologiques indiquent que 92 % des populations des ours blancs sont « stables ou en augmentation »

Deux nouvelles études écologiques 92 populations blancs stables augmentation
 
Publiées dans Ecology and Evolution et dans Polar Record, les deux études reposent sur des conversations avec les populations autochtones qui ont une expérience multiséculaire de la présence de l’Ursus maritimus : un procédé qui a souvent permis jusqu’à présent de constater à quel point leur expertise est réelle et fiable lorsqu’elle est rapportée aux mesures scientifiques prises par la suite.
 
L’ensemble des observations laisse penser qu’il n’y a quasiment pas de vérité dans les assertions actuelles selon lesquelles les ours polaires seraient une espèce menacée en raison du changement climatique et d’une couverture de glace plus fine dans les mers arctiques.
 
Sur le long terme, leur situation paraît même « assez bonne », à tel point que certains observateurs Inuit estiment qu’il pourrait bien y avoir « trop » d’ours polaires à l’heure actuelle.
 
L’une des études fait état de l’observation des populations locales selon laquelle les ours polaires n’ont pas besoin d’une couverture de glace épaisse pour pouvoir chasser le phoque.
 
Les Inuits ajoutent que la tendance des ours à faire le tour des poubelles ou à rechercher de la nourriture sur terre n’a rien de nouveau : c’est un comportement opportuniste qu’on leur connaît depuis toujours.