Une organisation britannique LGBT fait mettre en place la propagande transgenre dans les écoles, dès 3 ans : c’est ce qu’ils veulent toutes !

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Des enfants de trois ans ont été sensibilisés à la question transgenre dans des écoles britanniques. C’est ce que des députés britanniques ont appris au Parlement, lors de l’audition d’une organisation de lutte pour la défense des transgenres. L’organisation LGBT était là pour demander au gouvernement de généraliser cet enseignement dès l’âge de 3 ans, et d’en faire encore et toujours plus.
 
Pour justifier cette demande, l’organisation Gender Identity Research and Education Society (GIRES) a montré que le nombre d’enfants qui se révélaient transgenres « augmente rapidement ». Mais c’est précisément parce qu’ils n’ont plus aucun repère que les enfants savent de moins en moins qui ils sont.
 
C’est ce qu’un groupe de parents, ParentsOutloud, a affirmé, se plaignant de ce que les enfants reçoivent de trop nombreuses informations qui ne correspondent pas à leur âge. La fondatrice de ce groupe, Margaret Morrissey a mis en garde contre des « systèmes de prévention » qui ne cessent de briser les repères des enfants.
 
La multiplication des cours d’éducation sexuelle est allée de pair avec des grossesses de plus en plus précoces et nombreuses ; la sensibilisation aux méfaits de la drogue n’a certainement pas enrayé la consommation qui ne cesse d’augmenter chez les plus jeunes – et ainsi de suite.
 
À force d’être gavés de propagande LGBT, de plus en plus d’enfants finissent par se poser des questions qui n’ont pas lieu d’être, incapables de se structurer correctement.
 

Le nombre d’enfants transgenres augmente dans les écoles, le lobby LGBT veut intensifier la propagande

 
Les éducateurs qui travaillent auprès d’enfants plus âgés ont également réclamé plus de ressources pour sensibiliser les enfants à la question des transgenres, affirmant que les jeunes étaient plus « genderfluid » (« ayant une identité de genre fluide ou plurielle et qui transgresse la frontière entre masculin et féminin » comme le dit Facebook) que leurs prédécesseurs. Mais c’est un serpent qui se mord la queue : puisque le nombre d’enfants qui se déclarent transgenres augmente, il faut intensifier la propagande.
 
La GIRES veut que tous les enfants puissent être sensibilisés à la question, et produit donc du matériel pour assister les éducateurs dans cette mission. Pour les enfants âgés de 3 à 6 ans, elle propose des petits livres d’histoires colorés, dans lesquels un petit pingouin découvre qu’il est transgenre. Ses parents l’accompagnent dans cette découverte, le félicitent et le chérissent. Être transgenre est normal, voilà le fin mot de l’histoire.
Pour justifier l’existence de ces livres et leur éventuelle présence dans les écoles, la GIRES s’est appuyée sur l’Equality Act que toutes les écoles se doivent de respecter.
 

L’organisation LGBT GIRES réclame veut sensibiliser les enfants de 3 ans au transgenre dans les écoles britanniques

 
« Comprendre la diversité de genre commence ici, au premier niveau de l’école, avant que la vision des enfants ne soit influencée par les préjugés des adultes qui les entourent », explique l’association. En résumé, l’école se doit d’éloigner les enfants de leurs parents en matière d’éducation sexuelle ; le sens commun et les données de la nature ne sont que des préjugés. Que l’on est loin de l’adéquation de la chose et de l’intellect ! Quid de la vérité ?
 
« Le ministère de l’Education ne s’est pas montré enthousiaste pour inclure le développement d’identité de genre atypiques dans les programmes. Les écoles évitent en général ces sujets jusqu’à ce qu’elles soient confrontées à la “transition” d’un jeune, cela devrait donc être inclus à tous les niveaux d’enseignement, et être célébré de la même manière que d’autres caractéristiques protégées », insiste la GIRES.
 
Devant le comité parlementaire, Kirsty Walker, employée municipale dans un collège de Liverpool reconnaît que le nombre d’enfants transgenres augmente. Elle va plus loin : « Je pense qu’à l’avenir, notre société va commencer à arrêter de parler en fonction de nos genres à cause du sens accru de la “fluidité” que les jeunes expriment aujourd’hui. » Elle demande, bien sûr, un financement plus important pour que les écoles puissent continuer à promouvoir l’identité transgenre auprès des élèves.
 

Pourquoi aborder la question transgenre devant une majorité d’enfants qui savent qui ils sont ?

 
Actuellement, le nombre d’adultes qui se tournent vers les cliniques spécialistes de « l’identité de genre » augmente de 20% chaque année. Pour les adolescents, la progression est encore plus forte.
 
Elle ne cessera de l’être si les responsables de l’éducation refusent de structurer leur intelligence. C’est d’ailleurs la réaction qu’ont eue de nombreux parents à l’annonce de cette nouvelle revendication LGBT. Un père a simplement commenté : « Si ma fille dit “Je suis une fille”, pourquoi devrais-je troubler son sens de l’identité en lui disant : “Si tu veux, tu peux devenir un garçon, je t’aimerai de la même façon” ? » Une question de bon sens que l’organisation LGBT n’aborde évidemment pas.
 

Béatrice Romée