Dans le volley aussi, la transmania s’installe et provoque l’indignation des sportives

volley transmania provoque indignation
 

La NCAA (National Collegiate Athletic Association) est une association sportive américaine qui régit les événements sportifs des grandes écoles et universités américaines. Elle a autorisé un volleyeur transgenre nommé Fleming à figurer dans l’équipe féminine de l’université d’Etat de San Jose, qui l’a accueilli à bras ouverts. Problème, ni la NCAA, ni l’université de San Jose n’ont averti les autres équipes participant au championnat universitaire féminin. Deuxième problème, Flemming, qui s’identifie comme femme, est un beau bébé de près d’un mètre quatre-vingt-six avec des épaules en conséquence, contre lequel, au filet, ses adversaires ont peur d’aller au contre. Troisième problème, au passage, la hauteur du filet pour femmes (2,24 m, contre 2,43 m pour les hommes) lui permet de smasher presque sans sauter. Et d’envoyer la balle avec une force inconnue chez les dames. Et tout à l’avenant, ce qui provoque la colère, l’exaspération et l’indignation des volleyeuses, prises de court quand elles arrivent sur le terrain et découvrent l’engin en face d’elles. C’est pourquoi l’associations Concernet Women or America CWA poursuit en justice la NCAA. Sa porte-parole Maci Petty explique : « Nous ne voulons pas seulement protéger le sport féminin, mais les athlètes concernées. » Une autre plainte a été déposée. Et en attendant, Boise Star, Southern Utah et l’Université du Wyoming ont annoncé qu’elles boycottaient leur match contre San Jose. Une joueuse a posté sur son compte X : « Est-il juste pour ces femmes qui ont travaillé si dur d’être dominées par un joueur moyen ? »