Aux termes d’une étude publiée par le Journal of the Pedriatic Infectious Diseases Society, et commentée par Courageous Discourse, la publication du cardiologue américain Peter McCullough, les enfants de 6 mois à 4 ans ayant reçu le vaccin anti-covid à ARNm Pfizer BioNTech avaient un plus grand risque d’infection par le covid et présentaient également un risque accru de covid symptomatique que les enfants non vaccinés.
L’épidémiologiste et spécialiste de la santé publique Nicolas Hulscher a résumé les points marquants de cette étude de manière plus claire que celle-ci ne le fait elle-même : les données sont bien là, mais elle se borne à conclure : « Les vaccins covid-19 sont recommandés en vue d’éviter la maladie sévère : le risque général d’infection pourrait ne pas présenter des différences substantielles entre les enfants jamais infectés (“naïfs”) vaccinés et non vaccinés âgés de moins de cinq ans. »
Le Dr Hulscher rend plus explicite ce que disent les chiffres tirés de l’étude réalisée sur 614 enfants de cinq Etats de septembre 2022 à avril 2023. Il en ressort un risque accru lié à la vaccination Pfizer : chez les enfants n’ayant jamais été infectés par le SARS-CoV-2, il était de 159 %, et le risque de présenter un covid symptomatique était quant à lui augmenté de 257 %.
L’« efficacité négative » de la vaccination anti-covid
L’infection préalable s’est avérée offrir une protection « robuste » et significativement plus élevée par rapport aux enfants non vaccinés et « naïfs » (jamais infectés).
La vaccination n’a pas entraîné une réduction significative du risque d’infection ou de covid symptomatique, comparée à l’absence de vaccination : on peut en déduire que la vaccination seule n’a pas d’effet protecteur notable.
Les rappels de vaccination n’ont pas non plus entraîné une réduction significative des infections ou des covid symptomatiques parmi les enfants concernés.
La vraie conclusion est donc celle-ci, selon le Dr Hulscher : « Ces injections font le contraire de ce qu’elles sont censées faire. Au lieu de protéger contre le covid-19, ces injections génétiques n’ont pas d’effet, voire font augmenter le risque. Les CDC (Centers for Disease Control) doivent immédiatement révoquer leurs recommandations visant à faire donner des rappels de vaccins covid aux enfants âgés de 6 mois et plus. »
Le risque accru d’infection post-vaccination de plus en plus évident
Ce n’est pas la seule étude qui mette au jour « l’efficacité négative » des vaccins ARNm contre le covid ; Nicolas Hulscher en cite trois autres publiées dans des revues scientifiques « mainstream ». L’une, de 2022, est relatives à la baisse de protection rapide constatée au Qatar. Une étude réalisée en Islande portant sur l’année 2021 a constaté un risque accru de 42 % de réinfection par le variant Omicron chez les personnes ayant reçu deux doses par rapport aux non vaccinés. La troisième étude citée, réalisée à la Cleveland Clinic dans l’Ohio, a montré que le risque d’infection augmente de 107 à 253 % en s’aggravant relativement au nombre de doses de vaccins déjà reçues.
Et on ne parle même pas ici de la mortalité associée au vaccin : dans un article publié le 3 novembre dernier sur le compte Substack de Peter McCullough, Nicolas Hulscher estime que les vaccins covid ont pu faire 121 fois plus de victimes que la bombe d’Hiroshima.