Nous pointions, il y a peu, sur RiTV, les effets des vaccins à ARNm sur la fertilité humaine. Une nouvelle étude révolutionnaire explique le pourquoi, le comment de cette conséquence dûment manifestée par les chiffres : les vaccins à ARNm provoquent la destruction irréversible des follicules primordiaux féminins, à savoir la « réserve d’ovules » limitée qui détermine la fertilité et le moment de la ménopause. Autrement dit, on a pu mettre en place un effondrement permanent de la fertilité.
Comment les autorités réglementaires ont-elles pu ignorer les données de toxicité ovarienne animale avant le lancement ? Là est la question. Comme elles ont ignoré le fait que cette vaccination pouvait perturber les réseaux d’expression génétique essentiels par l’expression persistante de la protéine Spike et une possible intégration génomique, engendrant un chaos moléculaire potentiellement grave : c’est la découverte d’une autre étude récente.
De l’autre côté de l’Atlantique, on se désengage peu à peu de la logorrhée sanitaire des vaccins anti Covid, sous l’influence bénéfique du secrétaire américain à la Santé et aux Services sociaux, Robert F. Kennedy. Mais en sera-t-il de même ailleurs, malgré toutes ces sonnettes d’alarme ?
Des vaccins anti Covid « sûrs et efficaces » ? Les lésions ovariennes sont plus que probables
L’étude Karaman, publiée à la fin mars dans la revue Vaccines, nous vient de Turquie : c’est la première à évaluer les effets des vaccins à ARNm et inactivés contre la COVID-19 sur les follicules ovariens et la réserve ovarienne dans une population de rats. Et les résultats indiquent que les deux types de vaccins peuvent avoir un impact négatif, avec des effets encore plus prononcés pour le vaccin à ARNm.
Les tissus ovariens de trente rates, réparties en trois groupes dont un témoin, ont été analysés. Il a été constaté que les rates qui avaient été soumises aux vaccins, tout particulièrement les vaccins à ARNm, subissaient une perte de plus de 60 % des follicules primordiaux, une chute de l’hormone anti-müllérienne (un marqueur clé de la réserve ovarienne), ainsi qu’une augmentation de la perte folliculaire par apoptose (mort cellulaire) due à l’augmentation de certaines protéines et enzymes.
Il y a deux explications possibles à ces dégâts biologiques. Les nanoparticules lipidiques, conçues pour protéger et transporter l’ARNm dans la cellule s’accumulent dans les ovaires à des concentrations élevées après l’injection. Et la protéine Spike déclenche une réponse inflammatoire, induisant des dommages parmi certains récepteurs des cellules ovariennes.
Les vaccins à ARNm nous font fabriquer notre propre poison
Ce ne sont que des rats… Mais il est urgent d’appliquer ces recherches à l’humain pour en vérifier la similarité, quoique ces résultats présument de conséquences également désastreuses. Les laboratoires nous ont pourtant toujours assuré que les vaccins inactivés comme les vaccins à ARNm n’avaient aucun impact significatif sur la fertilité ou les cycles de FIV, voire que le covid-19 en avait davantage comme l’avait affirmé en 2023, dans une étude, une chargée de recherche au CNRS.
Le 20 mai, LifeSiteNews faisait écho d’une interview choc de Steven Hatfill, virologue, expert de renom en armes biologiques et surtout conseiller spécial fraîchement nommé au Département de la Santé et des Services sociaux (HHS) des Etats-Unis, au sein de l’agence chargée de la préparation et de la réponse aux pandémies. Il a déclaré tout de go que les vaccins à ARNm contre le covid-19 étaient une « expérience imprudente », qui nous faisait fabriquer notre « propre poison ».
Il a notamment souligné la présence de l’activateur du gène SV40 dans les injections expérimentales d’ARNm contre le covid-19. A la base virus simien, cancérigène, il est utilisé de façon partielle dans les vaccins à ADN pour stimuler la lecture du gène, ce qui conduit à la production d’ARN messager (ARNm) et donc à la synthèse de la protéine codée.
Sauf que, selon Hatfill, il « suralimente l’expression génétique », amplifiant des gènes capables de transformer l’organisme des personnes vaccinées contre le Covid en « usines à tumeurs » : « Nous ne constatons pas d’association significative avec le cancer uniquement liée au virus, mais nous le constatons chez les personnes vaccinées. »
Chaos moléculaire : une tendance inquiétante aux perturbations biologiques
C’est aussi ce qu’a découvert le Dr John Catanzaro, biologiste, fondateur de l’entreprise Neo7Bioscience, en binôme avec le Genomics BioDiscovery Institute de l’Université du Nord du Texas : dans leurs recherches conjointes, ils ont été les témoins du chaos moléculaire généralisé qui survient après une injection d’ARNm.
Il note, en particulier, l’accumulation de protéines mal repliées, la signalisation oncogène (cancer) et des traces persistantes de composants d’ARN dérivés du vaccin, telles les séquences promotrices du SV40 cancérigène et les queues poly(A) conçues pour améliorer la stabilité de l’ARNm dans la cellule humaine.
Tout cela met sur la piste d’un phénomène de transcription inverse, un processus qui a déjà été mis en valeur par l’étude d’Aldén et al., publiée en 2022 dans Current Issues in Molecular Biology. L’ARN dérivé du vaccin pourrait être, en effet, rétrotranscrit dans le génome de l’hôte, modifiant ainsi de manière permanente la régulation des gènes, contribuant ainsi à une inflammation chronique, à une immunosuppression et à une oncogenèse accélérée.
Catanzaro parle carrément d’un « retournement oncogène. » Cela expliquerait l’augmentation des cas de cancers agressifs et de l’effondrement dévastateur du système immunitaire. Un ministre japonais n’a pas hésité, récemment, à le faire savoir, comme le signalait RiTV.
Et ces gros « caillots fibreux blancs » découverts dans les corps des personnes ayant reçu des « vaccins » à ARNm contre le Covid ? L’épidémiologiste américain Nicolas Hulscher a récemment interviewé un embaumeur qui raconte qu’avant 2021 ces caillots étaient extrêmement rares, et qu’ils sont maintenant présents dans 30 à 50 % des corps qu’il embaume.
Quoi d’autre ?