Une étude de l’INSEE parue le 8 juillet explique : « Un quart des ménages vivent dans une résidence principale considérée en sous occupation très accentuée. Il s’agit le plus souvent de maisons individuelles occupées depuis longtemps par des propriétaires âgés n’ayant plus d’enfants à leur domicile. »
Ainsi, selon les auteurs, « un quart du parc de résidences principales, soit 7,6 millions de logements, comportent au moins trois pièces de plus que le nombre théoriquement nécessaire ». Ce « phénomène est plus prégnant dans les couronnes des aires d’attraction des villes que dans les pôles ».
Il est précisé : « Les habitants des logements sous-occupés sont le plus souvent satisfaits de leurs conditions de logement et seulement une minorité d’entre eux considère son logement comme trop grand. Ils souhaitent très rarement déménager. »
L’idée serait-elle donc d’éduquer ces vieux grincheux pour leur apprendre les vertus du partage et leur expliquer ce qui est vraiment bon pour eux ? La chute des mariages et la crise démographique ne risque pas d’endiguer le phénomène. Alors quoi ? Faut-il diviser les maisons en plusieurs logements ? Lancer une plateforme Adopte un migrant ? Le communisme a de beaux jours devant lui.