C’est le nombre d’Airbus (surtout des A320 et des A220) cloués au sol pour l’entretien et le remplacement, dont la majorité à cause des moteurs américains Pratt et Whitney qui les équipent. Cela fait un peu moins d’un tiers des 2.500 appareils en service, beaucoup plus que le nombre habituel appelé pour révision. En cause apparemment : l’usure trop rapide de certaines pièces. Elle affecte aussi le moteur concurrent, Leap, construit par Safran et GE Aerospace, mais dans une moindre mesure (sur les 4.110 appareils de toute marque qui en sont équipés, seuls 108 sont eu révision, soit 2,5 %). Cette sur-usure des moteurs Pratt et Whitney concerne toutes les compagnies aériennes.