Dans les années 1930, les Etats-Unis accueillaient des intellectuels juifs qui fuyaient le nazisme. BFMTV rapporte aujourd’hui l’histoire de cinq « chercheuses » anciennement installées aux Etats-Unis qui ont trouvé « refuge » en région Occitanie après avoir fui un pays où « la recherche est mise à mal par les coupes budgétaires de Trump ».
La région Occitanie a débloqué une enveloppe de 2 millions d’euros issus du Fonds européen de développement régional, en complément aux soutiens de l’Etat et des universités, pour rendre ces arrivées possibles.
L’historienne Caroline Séquin, une des cinq « chercheuses réfugiées », a expliqué à BFMTV les raisons de son exil : « Du fait que mes travaux portent sur l’histoire des femmes, du genre, et de la sexualité, je ne suis plus éligible à aucun financement fédéral. » Trump a décidé de cesser de financer les inutiles ; la France reste engluée dans ses enfantillages…











