Une étude réalisée à l’Université de Columbia à New York vient de révéler que l’autisme résulterait d’un excès du nombre des synapses, les connexions nerveuses présentes dans le cerveau.
Cette découverte pourrait déboucher sur un traitement puisque cette surabondance de « branchements » entre les neurones proviendrait simplement d’un mauvais fonctionnement du mécanisme naturel d’élimination des synapses inutiles.
Les chercheurs sont déjà parvenus à rétablir ce mécanisme défaillant chez des souris (modifiées génétiquement afin de simuler l’autisme), et à éliminer les symptômes typiques de l’autisme chez ces rongeurs.