Alors qu’il semblait avoir le dessus au début des négociations, il y a quatre ans, Google connaît une opposition de plus en plus forte de la part des autorités allemande et française. Ce qui est en jeu : dans les entreprises et sites qu’il place en tête des résultats, le moteur de recherche quasi monopolistique choisirait plutôt en fonction de la publicité versée qu’en fonction de leur importance réelle. D’après les experts européens, les négociations seraient revenues à la case départ.