Jeudi, les anarchistes ont pris d’assaut le Parlement, la faculté de droit et la station de radio de Syriza, Sto Kokkino (« dans le rouge ») et les ont occupé de plusieurs heures à plusieurs jours, avant de s’en prendre carrément au siège de Syriza. Au grand embarras du mouvement d’extrême gauche : il hésite à mobiliser la police anti-émeute qu’il a si vivement critiquée lorsqu’il était dans l’opposition.